 | Madame Mauricette BOLSÉE À toi, mon amie… Il y a des silences qui résonnent plus fort que mille mots. Ton absence en fait partie. Tu es partie trop tôt, bien trop tôt, laissant derrière toi un vide immense, des cœurs brisés, et des souvenirs précieux que rien ni personne ne pourra jamais effacer. Je pense à toi chaque jour. À ton sourire, à ta force, ton courage à ta bienveillance. Tu avais cette lumière en toi, celle qui réchauffait ceux qui avaient froid, celle qui écoutait sans juger, qui aimait sans compter. Et aujourd’hui, cette lumière brille autrement, dans nos souvenirs, dans nos larmes, mais aussi dans l’amour que tu laisses derrière toi. Je pense à ta fille, ton bébé si belle, si courageuse. Une partie de toi vit à travers elle. Je voudrais lui dire qu’elle n’est pas seule. Que tu seras toujours là, d’une autre façon. Que l’amour d’une mère est éternel, qu’il dépasse la mort, qu’il habite l’âme. Ton beau fils et tes adorables petits enfants chéris, tu vas aussi les soutenir et les aider À ta famille, je voudrais offrir tout mon soutien, ma tendresse, mon cœur en morceaux. Les mots sont faibles face à la douleur, mais ils peuvent parfois porter un peu de douceur. Vous n’êtes pas seuls. Nous sommes là, unis par le chagrin, mais aussi par l’amour que nous lui portons. Repose en paix, ma petite Mauricette Tu restes infiniment vivante dans nos cœurs. Et jamais, jamais, tu ne seras oubliée.
Nicole et Jean
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